ABUS 3988 Le cabinet minard « médaille d’or » du syndic le moins réactif
Au mois de février, un conseil syndical a souhaité adhérer à l’ARC pour pouvoir bénéficier de son assistance compte tenu des difficultés qu’il rencontre avec son syndic, le cabinet MINARD.
Le Président du conseil syndical a donc envoyé à son syndic le contrat d’adhésion pour qu’il procède, conformément à l’article 27 du décret du 17 mars 1967, au règlement de la cotisation annuelle à l’ARC pour un coût modique de 139 €.
Courant mars, l’ARC reçoit un avis de virement du SYNDIC CABINET MINARD pour nous informer du règlement prochain de l’adhésion.
Début avril, constatant l’absence de règlement, l’ARC a relancé le CABINET MINARD. Après « moultes » recherches, celui-ci nous informe que le virement n’est pas passé et qu’il doit se rapprocher de sa banque pour en connaitre les raisons.
En mai, après diverses relances et plusieurs messages sur le répondeur de ce cabinet restés sans suite, nous décidons d’informer notre adhérent sur la « réactivité » de son cabinet de syndic.
Le Président du conseil syndical nous a alors remis la ligne directe de la responsable comptable du cabinet. Nous avons donc appelé cette dernière pour entendre une réponse tout simplement ahurissante : « depuis le mois de mars je n’ai pas eu le temps de m’occuper du dossier ».
Extra-or-di-naire. En l’espace de trois mois, la comptable du CABINET MINARD n’a pas eu le temps de procéder à un règlement. Réponse minable du cabinet MINARD, dirons-nous.
S’agit-il d’une réelle surcharge de travail ? Ou alors tout simplement de la peur de l’ARC, d’autant plus qu’un contrôle des comptes de la copropriété avec le conseil syndical est prévu prochainement chez le CABINET MINARD?
Espérons que les factures d’électricité ou d’assurance ne subissent pas le même régime.
L’ARC a donc décidé de procéder, tout de même, au contrôle de comptes afin de comprendre pourquoi ce syndic a « si peu de temps » pour ne pas procéder en l’espace de trois mois au paiement de la cotisation.
Nous sommes donc impatients d’éplucher les comptes.