ABUS 3987 bis Conseil syndical actif + actions de l’ARC = recul des mauvaises pratiques des syndics professionnels

26/05/2015 Abus Abus

ABUS 3987 bis.  Conseil syndical actif + actions de l’ARC = recul des mauvaises pratiques des syndics professionnels

 

 

Nous avons reçu récemment un courriel de remerciement d’une conseillère syndicale, qui grâce à l’aide de l’ARC, a pu :

 

  • faire  barrage aux pratiques abusives de son syndic ;
  • le mettre efficacement en concurrence et baisser les frais de gestion sur sa copropriété.

 

Nous avons souhaité reproduire ce texte instructif pour tous les copropriétaires.

 

« Monsieur,

 

Dans l’immeuble dans lequel j’habite, le syndic P de Paris voulait imposer à l’assemblée de décembre 2014 une hausse de 12 % [de son contrat] sans compte séparé. Pour sauver la face, il a prétendu s’être trompé ; qu’il avait demandé à tort la dispense d’ouvrir un compte séparé et qu’il fallait l’ouvrir. Nous avons obtenu à grand-peine qu’il limite l’augmentation de ses honoraires à 6 %, mais il nous a annoncé que l’année suivante il n’était plus question de négocier son tarif en raison des frais occasionnés par la loi ALUR.

Au bout de 5 mois, le compte séparé n’est pas ouvert, sous prétexte que la banque est débordée.

 

Nous avons recherché d’autres syndics et nous avons obtenu de 6 syndics des contrats avec compte séparé, dont les tarifs étaient tous inférieurs de 30 % pour le plus élevé et de 40 % pour 2 autres.

 

Parmi les syndics qui nous ont paru intéressants, tous avaient déjà ouvert des comptes séparés et constaté qu’il n’y avait aucun frais supplémentaire de gestion.

 

Cette négociation a pu être menée grâce à vos recommandations.

 

Je remercie l’ARC pour sa ténacité face aux problèmes des copropriétés. 

 

Cordialement.

Mme X. »

 

Madame, c’est l’ARC qui vous remercie de cette initiative, intéressant non seulement votre copropriété, mais également tous les copropriétaires qui lisent régulièrement nos articles.

 

Vous rappelez ainsi que les copropriétaires peuvent parfaitement faire plier des syndics professionnels défaillants, s’estimant trop souvent omniscients et « tout puissants ».

 

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