ABUS 3889 Cabinet DUPOUY-Flamencourt
(syndic ET géomètre-expert)
l’ARC saisit l’Ordre des Géomètres-experts.
Comment peut-on croire raisonnablement que les chambres professionnelles ou même les Ordres professionnels peuvent vraiment mettre de l’ordre chez leurs adhérents, du moins les « syndics » ?
Il y a belle lurette que la FNAIM et l’UNIS ont montré et démontré cette incapacité préoccupante comme nous et nos adhérents ont pu si souvent le constater (voir dernier épisode : le triste comportement du président-adjoint de l’UNIS : www.arc-copro.com/c6mq).
On aurait pu croire qu’un Ordre, un vrai, aurait plus d’autorité, de poids, d’efficacité. Étant donné la façon dont le cabinet DUPOUY-Flamencourt se joue de la loi sans visiblement s’attirer les foudres de son Ordre, on pourrait en douter. Espérons que nous nous trompons.
Voici la nouvelle lettre adressée au Conseil Régional de l’Ordre à ce sujet suite à notre abus numéro 3880 : www.arc-copro.com/w8ut :
« Ordre des Géomètres Experts
Madame Séverine VERNET
Présidente du Conseil régional
103, rue Jouffroy d’Abbans
75017 PARIS
Madame la Présidente,
Nous vous avions saisi de certains problèmes concernant un membre de votre Ordre, le cabinet Dupouy-Flamencourt.
Nous regrettons de n’avoir eu - pour le moment et trois mois après - de votre part qu’un accusé de réception suite notre saisine.
Nous vous adressons en effet un autre courrier du même cabinet (adressé avec les appels de fonds du premier trimestre 2015, qui plus est) qui est très inquiétant et démontre que votre adhérent dysfonctionne gravement.
Pour plus d’explications, nous vous joignons l’article que nous publions sur notre site Internet et le courrier du cabinet.
Nous souhaiterions savoir quelle suite votre Ordre va donner à notre légitime protestation et - surtout - quelle sanction sera prise, le comportement du cabinet Dupouy-Flamencourt nous paraissant inadmissible à plusieurs égards.
Dans l’attente de votre réponse, dont nous vous remercions, nous vous prions de recevoir, Madame la Présidente, l’assurance de nos salutations distinguées.
Jean-Claude BOUILLET Émile HAGÉGE
Président. Directeur général délégué.
Nous le disons et le redisons : la seule solution serait de mettre en place d’urgence la seule mesure efficace possible, à savoir la Commission de Contrôle des Professionnels de la Transaction et de la Gestion Immobilières instituée dans son principe par la loi ALUR et que les professionnels font TOUT pour empêcher de se mettre en place (voir notre deuxième dossier du mois de janvier 2015 : www.arc-copro.com/6we9).
Au fait, avez-vous saisi votre député et votre sénateur à ce sujet ?