ABUS 3724 FONCIA utilise aussi à des fins commerciales le fichier des entreprises ou organismes qui interviennent dans ses copropriétés et joue les « rabatteurs »
On savait que FONCIA utilisait le fichier de ses copropriétaires pour alimenter des bases de données et faire (ou faire faire) de la prospection (voir abus numéro 3690 : www.unarc.fr/w2u1).
On ne savait pas cependant que FONCIA utilisait aussi son fichier « fournisseurs » pour faire de bonnes affaires ou en faire faire.
Voici comment FONCIA fait le rabatteur pour une revue pleine d’articles « promotionnels » et, bien sûr payante.
Nous avons - en tant qu’organisme « fournisseur » (de conseils syndicaux) via les cotisations à l’ARC - reçu par hasard ce courrier d’un des cabinets FONCIA, qui a - le pôvre - mal fait le tri…
Sans commentaire.
FONCIA
VAL-DE-MARNE
S….., le 2 juin 2014
Madame, Monsieur,
Mon cabinet a décidé de paraitre dans la prochaine édition de la « revue immobilière » (éditions EBC Presse) qui consacre un dossier spécial « SYNDIC ».
Les articles rédactionnels présentés ainsi que les listes de professionnels de l’immobilier feront de cet ouvrage un véritable outil de travail, tant pour les entreprises que les cabinets immobiliers.
Cette parution comportera en outre différentes rubriques destinées à favoriser la promotion des entreprises et sociétés qui se sont montrées par leurs compétences et leur conscience professionnelle, [et surtout le chèque qu’elles adresseront aux Editions EBC] digne de recommandation.
Pour ces raisons, et compte tenu des excellents rapports que nous entretenons, [FONCIA s’adresse BIEN à l’ARC…] j’ai fait figurer votre nom sur la liste sélective d’entreprises.
Vous recevrez, j’en suis certain, le meilleur accueil au délégué des éditions EBG Presse dûment accrédité, qui vous contactera très prochainement pour une participation publicitaire dans cet ouvrage.
Vous restez bien entendu totalement libre de votre décision.
Vous remerciant par avance, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées ».
Nous répétons : sans commentaire.