ABUS 3652 La GIEP se fait rosser (une 2ème fois)
S’étant fait rossé une première fois par une conseillère syndicale, le directeur général de la GIEP - Monsieur JACQUES - répond maladroitement :
- « Oui, elle a fait une erreur (qu’elle va payer).
- « Mais Copropriété-Services en ne reversant (soit-disant pas) l’argent)) est aussi responsable.
De tels mensonges associés à une telle lâcheté et un tel manque de responsabilité sont suffocants.
Nous avons donc adressé une volée de bois vert à ce monsieur.
Voici sa lettre et notre réponse en forme de coups de pied aux fesses.
Coups de pied que nous avons l’impression que les copropriétaires concernés vont aussi administrer à ce curieux professionnel.
Lettre de la conseillère syndicale :
« Solutions immobilières
Noisiel, le mercredi 5 mars 2014
Chère Madame,
Pour faire suite à votre courrier du 26 février dernier, nous souhaitons vous informer sur les faits suivants concernant ce dossier :
- Le 18/01/2013, nous adressons un ordre de services à COPROPRIÉTÉ SERVICES pour la livraison de fuel,
- Le 19/02/2013, facturation de la Société INERGENCE mandatée par COPROPRIÉTÉ SERVICES d'un montant de 11.510,30 €,
- Le 29/11/2013, nous recevons une Assignation de la Société INERGENCE pour facture non réglée pour défaut de trésorerie du Syndicat des copropriétaires,
- Le 16/12/2013 nous adressons un acompte de 6.000 € à COPROPRIÉTÉ SERVICES qui avait passé la commande,
- Le 03/01/2014, nous procédons au paiement du solde soit 5.510,30 € à COPROPRIÉTÉ SERVICES,
- Le 13/01/2014 le Tribunal de Grande Instance de Créteil condamne le Syndicat des Copropriétaires à régler les 11.510,30 € plus 1.200 € au titre de l'article 700,
- Le 03/02/2014, nous adressons un courrier recommandé à la Société INERGENCE pour l'informer que les règlements ont été adressés à COPROPRIÉTÉ SERVICES.
Notre avocat prend contact avec l'avocat de la Société INERGENCE qui l'informe, avoir reçu les fonds.
Notre seule erreur dans ce dossier [ ??!] est de ne pas avoir représenté le Syndicat Des Copropriétaires devant le Tribunal, ce qui aurait évité la condamnation et l'Article 700 de 1.200 €.
Nous prendrons à notre charge ces frais.
Enfin, on peut se demander pourquoi COPROPRIÉTÉ SERVICES a gardé les fonds plutôt que de les adresser au fournisseur.
Vous souhaitant bonne réception de la présente,
Nous vous prions de recevoir. Monsieur, l'expression de nos sentiments distingués.
MONSIEUR JACQUES
LA DIRECTION »
Notre réponse :
LETTRE OUVERTE À LA GIEP
GIEP
Messieurs JACQUES
Gestion Immobilière de l’Ensemble Parisien
42, cours des roches
77166 Noisiel
Paris, le 12 Mars 2014
Objet : 18, rue des Mèches à Créteil
Monsieur le Directeur général,
Je suis indigné par la réponse peu responsable et peu courageuse que vous vous êtes autorisé à adresser le 5 mars dernier à la lettre vigoureuse du 26 janvier 2014 adressée par Madame T…., conseillère syndicale du 18, rue des … qui vous avait rappelé à vos obligations de syndic et signalé vos manquements.
NON, monsieur, Copropriété-Services n’a JAMAIS adressé de facture à GIEP et vous le savez parfaitement.
Nous avons reçu de votre part, par erreur, un règlement d’acompte de 6.000 euros le 16 décembre 2013 (soit sept mois après l’émission de la facture par le fournisseur) et nous vous avons signalé votre ERREUR dès le 23 décembre par écrit (faute d’avoir un interlocuteur au téléphone).
Nous avons informé la société INERGENCE immédiatement et lui avons reversé sans délai votre règlement erroné (le 7 janvier), ce que nous vous avons signalé.
PIRE : vous avez procédé le 6 janvier 2014 à un deuxième virement - à nouveau de façon erronée - à Copropriété-Services, ce que nous vous avons également signalé immédiatement et nous étonnant de vos accumulations d’erreurs. Puis nous avons reversé le 14 janvier ce deuxième virement
Dès lors, écrire comme vous l’écrivez de façon ignominieuse : « Enfin on peut se demander pourquoi Copropriété-Services a gardé les fonds plutôt que de les adresser au fournisseur » laissant croire que nous pourrions être responsables de la situation est à la fois mensongeR HONTEUX et inadmissibles.
Ceci dit, cela nous étonne modérément de votre part.
Sachez, monsieur, que nous allons faire savoir à quel procédé vous pouvez vous abaisser pour ne pas reconnaître vos erreurs et que Madame … saura de son côté - pour le compte des copropriétaires victimes - vous remettre à votre place et vous ôter l’habitude de mentir à vos interlocuteurs.
Recevez mes salutations.
M. Bruno DHONT
Directeur général de l’ARC
Gérant bénévole de Copropriété-Services