ABUS 3557 FNAIM et UNIS : une énormité de plus !

24/10/2013 Abus Abus

ABUS 3557 FNAIM et UNIS : une énormité de plus !

 
 
Nous n’en sommes pas encore revenus : Jean-François BUET (président de la FNAIM) et Etienne GINOT (président de l’UNIS) viennent de cosigner un communiqué de Presse qui révèle :
 
  • leur peur panique des commissions paritaires régionales disciplinaires ;
 
  • les difficultés qu’ils ont à ne pas sortir régulièrement des énormités.
 
De quoi s’agit-il ?
 
I. Deux présidents pour deux énormités
 
Comme on l’a dit, Monsieur Étienne GINOT et Jean-François BUET sont respectivement président de l’UNIS et président de la FNAIM.
 
Nous aimerions bien pouvoir respecter leurs personnes, leurs écrits et paroles, mais parfois ils vont vraiment trop loin. Voici un extrait d’un communiqué de presse commun à ces deux présidents, qui date de la semaine dernière :
 
« Commissions de contrôle. La loi prévoit la création de commissions de contrôle de nos professions au niveau régional ou interrégional. Il nous paraît évident qu’une seule commission, au niveau national, garantirait une jurisprudence unique à l’ensemble des professionnels et éviterait les recours en contestation. Quant à la composition de ces commissions de discipline, la présence de consommateurs en leur sein est inacceptable si l’on veut garantir l’objectivité des décisions ».
 
Merveilleux !
 
  1. Une seule commission nationale pour traiter les milliers et milliers de manquements à la loi et à la déontologie ! Une commission qui pourrait au mieux traiter quelques cas chaque mois.
Objectif : ne surtout pas embêter les confrères ; ne surtout pas traiter les problèmes ; juste faire croire que...
 
  1. Mais il y a encore plus énorme : écarter les représentants des clients de ces commissions (qui n’auront donc plus rien de paritaires) pour « garantir l’objectivité des décisions ».
 
Mais naturellement garder les professionnels et leur « objectivité » garantie !!!
 
Est-il possible de sortir quelque chose de plus... allez disons-le : bête ? Non, ce n’est pas possible. Messieurs les présidents : relisez les communiqués de Presse que vous signez.