Dernièrement, nous avons diffusé un article démontrant l’intérêt de l’adhésion à l’ARC, avec un réel retour sur investissement compte tenu des économies que pouvait réaliser une copropriété grâce aux conseils prodigués par nos juristes et techniciens.
Voir : www.arc-copro.com/n7jk.
Encore récemment, nous avons organisé un colloque au cours duquel nous avons démontré que la maîtrise des charges n’était pas un fantasme, et que les leviers de réduction de dépenses étaient multiples.
Parmi eux, la chasse aux factures inutiles, abusives voire illégales.
A travers cet article, nous n’allons pas expliquer pour quelle raison des syndics dits « professionnels » s’entêtent à travailler avec des sociétés connues pour leurs pratiques abusives et leurs tarifs exorbitants. En effet, tout le monde a déjà bien compris pourquoi…
Ceci étant, un adhérent nous a interrogés sur son relevé de dépenses afin de contrôler la possibilité de faire des économies dans sa copropriété, et l’utilité de l’adhésion à l’ARC.
Une démonstration grandeur nature
Nous n’allons pas entrer dans le détail de l’analyse de ce relevé de dépenses qui était fort instructif avec la détection de nouvelles pratiques abusives.
Nous allons nous focaliser uniquement sur les comptes « 623 » qui présentent les tiers « intervenants » et dans lesquels on retrouve aussi l’adhésion à l’ARC pour une somme de 323 euros.
Or, que constatons-nous ?
Sur la ligne précédente, figurent deux factures de la société DEP pour la réalisation de diagnostics non obligatoires, comme l’évaluation des risques professionnels.
Des dépenses inutiles qui représentent une jolie économie après les avoir sorti des charges de copropriété.
Une jolie économie, avez-vous dit, mais de combien ? Il vaut mieux rester assis : de la modique somme de 1208,74 € ! Et oui, rien que ça.
L’annulation de ces deux seules factures amortit déjà plus de trois ans et demi d’adhésion à l’ARC.
La démonstration est donc faite : OUI l’adhésion à l’ARC est largement amortie.
Comment adhérer
Tout d’abord, précisons que l’adhésion à l’ARC est une décision du conseil syndical et non de l’assemblée générale et encore moins du syndic.
C’est donc dans le cadre d’une réunion privée entre membres du conseil syndical que ces derniers décident d’adhérer à l’ARC.
En cas de décision favorable, il leur suffit alors de remplir le contrat d’adhésion à partir du lien suivant : https://arc-copro.fr/les-services-outils
L’ARC se chargera alors d’envoyer la facture au syndic de l’immeuble.
Cette assistance du conseil syndical rentre dans le cadre de l’article 27 du décret du 17 mars 1967 qui précise que « le conseil syndical peut, pour l'exécution de sa mission, prendre conseil auprès de toute personne de son choix. Il peut aussi, sur une question particulière, demander un avis technique à tout professionnel de la spécialité ».
D’ailleurs, ce même article confirme que les frais engagés pour la mission du conseil syndical font partie du budget prévisionnel.